Néon et la culture des gangs
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Et pourtant, malgré sa réputation de “Ville des plaisirs” par excellence des Systèmes occupés, Néon héberge également une multitude de criminels, voyous et autres tristes représentants de la lie de l'humanité. Certains de ces parasites se contentent d'errer seuls dans les rues en quête de touristes égarés qui auraient commis l'erreur de sortir des sentiers battus, mais les pires d'entre eux sont de loin les bandes organisées qui se regroupent dans un but criminel commun. À ce jeu-là, l'ennemi public n° 1 est bien évidemment le clan Seokguh, une organisation criminelle suffisamment audacieuse pour étaler son nom au vu et au su de tous, et qu'on prétend être affiliée au maire de Néon Benjamin Bayu, voire placée sous son contrôle direct. N'oublions pas bien sûr les gangs de rue mineurs, mais tout aussi dangereux, comme les Strikers du Reflux et les Disciples. Comme dans la plupart des gangs, ses membres se flattent de faire partie d'une “famille”, mais les seuls liens qui les unissent sont ceux de leur responsabilité pour tout le sang qu'ils ont fait couler dans les rues.
[Le livre de Carl Lupino Un examen de Néon et la culture des gangs, dans lequel l'auteur se penche en détail sur le clan Seokguh, les Strikers du Reflux et les Disciples. Ses sujets d'étude refusèrent de coopérer avec son enquête, et tentèrent de le dissuader de publier son livre. Peu après la publication de ce dernier, Lupino disparut et on reste sans nouvelles de lui depuis ce jour.]